Après avoir manifesté à la rentrée, nous savions que ce que nous n’avions obtenu qu’un sursis. 
Notre mobilisation a cependant montré qu’elle pouvait être efficace.Les conséquences de la fin des emplois aidés sont claires. C’est le financement de chaque école et de tout le réseau qui est compromis.
Ce sont les conditions de travail de nos professeurs et salariés qui sont menacées, ainsi que les conditions d’accueil de nos enfants.

Toute l’année, le CA de Diwan, le bureau du CA et les services à Landerneau ont travaillé pour faire un état des lieux et envisager une sortie de crise. 

Au regard de ce la loi permet déjà et de ce qu’un aménagement législatif pourrait permettre, nous sommes en mesure de faire des propositions concrètes et sérieuses.
Elles visent à améliorer notre statut, la prise en charge de nos locaux, de nos salariés, la contractualisation rapide de nos écoles…
Afin que soit reconnue notre mission de service public.
Afin que cesse le bricolage, l’improvisation, pour que Diwan puisse voir l’avenir avec sérénité…
Ce serait un beau cadeau pour ses 40 ans.
Ce serait aussi un beau cadeau pour tous les bénévoles, que leur investissement soit reconnu. 

Car c’est là-bas que seront prises les décisions politiques et administratives qui nous concernent dans les prochains mois.
Pour être entendus, nous devons être visibles et montrer notre détermination. 

Entre les vacances, les ponts les anniversaires d’écoles et les kermesses, choisir une date n’a pas été facile.
Plusieurs écoles ont dû décaler leurs portes ouvertes, ou modifier l’organisation de leurs fêtes.
L’avenir de Diwan le mérite, que ceux qui l’aiment prennent le car…Alors soyons nombreux à Rennes le 26 !
Merci à tous, trugarez d’an holl.